L'homme : illusion ou réalité
En panne d'inspiration, le vague à l'âme me saisi et me jette à terre telle une marionnette de chiffon. Je ne peux lutter contre cette attraction au désespoir qui me gagne sans que j'en connaisse la cause mais je lutte pieds et poings contre cette gangrène qui veut me faire plier pour m'assujettir et me déposséder de mon âme poétique. Je sortirais vainqueur de cette bataille car je me refuse à abdiquer devant la fatalité, je ne sombrerais pas dans l'oublie sans combattre même s'il y a des destins auxquels on ne peut échapper.
Le temps des mots est révolu si l'action ne lui emboîte pas le pas
La vie est là devant nous belle, ardente et désirable, commettons le pêché d'y croquer comme Eve l'a fait dans la pomme.
Ne nous résignons pas, nous sommes aussi les artisans de notre vie, de notre bonheur ou malheur selon les choix que nous faisons et chaque pas vers la connaissance de nous même nous approche de la victoire finale : Etre détaché des valeurs matérielles qui corromps notre esprits et nous lie au monde infernal du matérialisme. Ne perdons pas le sens des réalités et des priorités l’essentiel dans la vie c’est l’être et non la matière qui ne doit servir que de moyen et non de fin en soi : La matière en question c’est l’argent ce fléau qui empoissonne notre existence quand on n’en manque et nous pousse à l’excentricité quand on n’en à trop. Juste milieu ou te situe tu ?
Nul et partout, ici comme ailleurs à toi de me trouver, je ne vais pas non plus te mâcher tout le travail ! Répondit il d’un ton détaché et sans aménité, le ton froid et dur comme les trottoirs de nos villes ou dorment et meurent nombre d’entre nous. Est coupable celui qui commet comme celui qui subit ; La vie est une arène où l’homme combat l’homme, gladiateurs des temps modernes où la passion laisse la place à l’argent.
Vanité des vanités tout n’est que vanité.
Passion = Argent ?
Je suis là, encore coincé ce WE, dans cette petite pièce face à mes écrans de contrôle et mon pc et ma télé. Tient cela me fais penser à une certaine chanson. Bref, je disais donc que je passe mon temps sur le net plus exactement sur mes blogs, oui j'en ai deux et cela prend énormément de temps mais vu que je l'ai j'en profite un "max".
Lire, écrire, penser comme je l'ai déjà dis ce sont les trois verbes de mon existence, je suis tombé dedans comme obélix dans la potion magique, et depuis je ne puis m'en défaire. Seulement voilà je ne veux pas m'en défaire, j'écris pour mon plaisir qui devient le vôtre par la même occasion du moins je le souhaite et l'espère vivement. J'aime la poésie,
J’écris pour assouvir ma passion pour les mots.
J’écris pour que la littérature garde ses lettres de noblesse.
J’écris pour que perdure le souvenir de nos écrivains d’antan.
Je ne suis pas Hugo, je ne suis pas Chateaubriand
Je ne suis pas poète.
Je ne suis pas écrivain.
Mais alors que suis-je ?
Je suis l’ordinaire dans un monde extraordinaire.
Je joue à cache-cache avec les mots, on se tourne autour sans jamais
vraiment se trouver
Je ne suis pas celui qu’on croit.
Je suis celui qui est.
Mais qui suis-je ?
Rien serais-je tenté de dire, mais n’est on jamais rien ou n’est on jamais quelqu’un.
Pierre Dacco disait qu’il est préférable d’être quelque chose que quelqu’un.
Entre sagesse et vanité où nous situons nous. Le fossé est bien profond entre les deux et il sera comblé quand l’homme sera devenu parfait…….sera t-il mort ?
Lire, écrire, penser les trois verbes de ma vie, les trois vérités de mon existence, c’est la que prend tout le sens de la fameuse phrase de pascal « Je pense donc je suis »
Je pense donc je suis ! Mais suis-je Pascal ? Non bien sûr qui aurait cette prétention !
Je ne suis pas un sportif je le regarde à la télé avouerais-je franchement mais sans passion aucune. Tout simplement parce que cela est devenu un "commerce " éhonté alors que certains ont du mal à joindre les deux bouts, galère du matin au soir pour subvenir à leur famille d'autres s'enrichissent à taper dans un ballon ou à conduire comme des fous furieux des voitures sur un circuit. Donc ce n'est plus du sport c'est une affaire de fric, ne croyez pas qu'ils prendraient autant de risque pour le SMIC, alors quand ces gens là parlent de passion, de « challenge » comme ils disent, le mot est à la mode je serais curieux de savoir combien ce « challenge » leur rapporte de plus, cela me fait sourire quelque peu.
Je ne suis pas jaloux
Je ne suis pas envieux
Je suis simplement en colère devant de telles pratiques
Quand certains se crèvent à la tâche
D’autres se « gavent » sur le dos de ceux qui les enrichissent
Et là la bêtise atteint des sommets
La cime de leur connerie est proportionnelle aux sommes amassées des sportifs
Pendant qu’eux se contentent de miettes d’un gâteau que d’autres mangent à leur place.
Je pense aux infirmières
Je pense aux sapeurs et aux marins pompiers
Je pense à tout ceux qui prennent des risques pour notre sécurité
A votre avis quel est leur salaire a eux ?
Mais le plus triste dans l’histoire, se sont les plus démunis qui cautionnent ce genre de pratique, ceux qui se ruent dans les stades, sur les circuits, tenez cela me fait penser à
Du pain et des jeux, et le peuple sera content
Armando