La provence et ses charmes
Chaque ville, chaque département, chaque région de notre cher pays possède des endroits magnifiques à découvrir, pour ceux qui sont à l'autre bout de notre pays et qui ne connaisse pas forcèment les charmes de cette région je vous convie à me suivre au gré des ruelles de cette superbe ville.
Armando
Grasse
La visite de Grasse a 2 grands points forts :
- La visite de la cité historique - La visite des musées |
La visite de Grasse : Vous pouvez aussi bien cheminer au hasard de ses ruelles ombragées et découvrir par vous même les trésors architecturaux, historiques et traditionnels, que vous laisser guider, à l'aide d'un baladeur avec CD loué aux points d'accueil de l'office de tourisme, à travers une visite en paroles et musique tout au long d'une parcours fléché.
Quelle que soit la formule choisie vous serez enchanté et sous le charme de ses places et placettes (place du Petit Puy, place aux Herbes, place aux Aires), de ses marchés, de ses fontaines, de ses petites rues tortueuses. Un très grand moment.
La visite des musées : Grasse étant aussi avant tout renommée dans le monde entier pour être la capitale de la parfumerie, il ne faut pas quitter cette ville sans visiter non seulement les musées historiques mais encore les musées liés à la parfumerie et les parfumeries elles mêmes.
La Provence, terre de lumière et de contrastes, a de tous temps attiré les artistes. La variété de ses paysages, de ses couleurs, les contrastes entre le rouge des calanques et le blond du sable, entre le vert profond des pins et le vert gris des feuilles d'oliviers, entre la douceur de la plaine littorale et le relief escarpé des premiers contreforts des Alpes, sont autant de charmes indéniables.
Présentation
Francesco Pascucci
Maximin Isnard lisant à sa famille son traité sur l'immortalité de l'âme
Huile sur toile
1804
H. 203,5 cm L. 312 cm
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Partageant sa vie entre Paris et la Provence, notamment à Saint-Tropez, Charles Camoin peint outre des portraits, des vues, des bouquets, de nombreuses marines méditerranéennes. Ses tendances, nul mieux que le peintre lui-même ne pouvait les définir. "Je me considère toujours comme fauve. Il y a deux sortes de couleurs, les vraies et les superficielles. Il faut choisir. Je
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