Folie meutrière
Encore un fait divers qui dépasse tout entendement logique, comment peut on en arriver à des extrémités de la sorte et entendre dire par de soi disant spécialistes de la santé psychique que ce genre d'individu, vu l'atrocité de l'acte commis, peut être sain d'esprit. Il ne se contente pas seulement de tuer sa femme de façon abominable mais s'en prend aussi à un témoin et là c'est pire car le meurtrier fait preuve de cynisme en fumant et lui faire la conversation avant de l'achever d'un coup de marteau. C'est tout de même aberrant que ces messieurs les experts ne voient pas là quelqu’un de potentiellement dérangé et dangereux… Mais bon je ne suis pas psychiatre non plus !!!
Armando
Il tue sa femme et un témoin gênant : 30 ans de prison
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| |  | Crédit Photo : TF1 | |
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Un homme a été condamné à 30 ans de prison pour avoir tué sa femme et s'être débarrassé d'un témoin gênant.
Pierre Mazoyer a brisé les vertèbres de sa concubine puis l'a poignardée parce qu'elle refusait d'avoir une relation sexuelle avec lui.
- le 04/05/2007 - 18h02
Un homme a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle, avec une peine de sûreté de 20 ans, vendredi par les assises du Rhône. Pierre Mazoyer était jugé pour le meurtre en 2004 de sa compagne, puis d'un pêcheur qui se trouvait sur les berges de la Saône alors qu'il se débarrassait du corps.
L'homme, 42 ans, avait indiqué avoir brisé les vertèbres de sa concubine en lui tournant la tête sur le côté brutalement, puis l'avoir poignardée, à leur domicile une nuit de juillet 2004 à Lyon, parce qu'elle refusait d'avoir une relation sexuelle avec lui et qu'elle voulait le quitter. Pierre Mazoyer, un agent d'entretien franco-gabonais, et sa compagne, de 12 ans sa cadette, avaient deux enfants, et n'avaient plus de relation sexuelle depuis la naissance du second, âgé de deux ans au moment des faits, selon l'accusé.
Tué à coups de marteau
L'homme a transporté le corps de sa compagne dans la cave de leur domicile, avant de le mettre quelques jours plus tard dans une cantine en fer, avec son sac à main, les draps tâchés de sang, et un parpaing pour lester le tout. Il a jeté la malle dans la Saône, s'apercevant trop tard de la présence sur les lieux d'un pêcheur. L'homme a échangé quelques mots et fumé une cigarette avec le pêcheur avant de le tuer à coups de marteau pour l'empêcher de témoigner, et de le jeter dans la Saône. L'accusé, inconnu des services de police jusque là, ne présente pas de pathologie psychique, selon les experts.